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L’Ætt : “la mennie/la famille/les parents” Symbolisé par le Þórſhamarr : “marteau de Þór”, dénommé aussi Stafinn : “le Signe”, emblème de fécondité, Swastika 1) et/ou Sauswastika 2) en sanskrit, appelé Croix gammée en français. Dans le sens Swastika/Rellſœlis : “sens du soleil”, c’est l’emblème du bien, symbole du feu créateur, du mouvement de la vie, et du soleil qui génère les deux. Antérieurement ce symbole était aussi un signe lunaire, la 4ème pale étant une représentation de la lune rousse. Symbolisé également par : 3)/NornaŔ Ruka : “roue des NornaŔ” (les DisaŔ de la destinée), rune de précession des temps, plus particulièrement des phases lunaires, appelé Flyfot : “pied volant” en anglo-saxon, le 4) Trifos : “3 pieds” de l’Ile de Man (de Mannanan mac Lir : “Mannois/rusé fils de l’océan”, fils du Dieu Kelt de la mer), la 5) Triccel/Triskel keltiskr. Mani/MannaŔ : l’Aß de la lune (avec Bil & Hjúki qui en caractérisent les phases), représente les 3 castes archétypiques indo-germaniques (dues à l’Aß Rig/ HĒmdall), et le Dieu trine, ou du moins la part de divinité en chaque être humain. Cette triumnité est aussi celle des 3 ÆttiŔ, des 3 runes aberrantes, et comme pour la Gæfa des 3 cornes imbriquées ou 3 triangles imbriqués (voir les dessins ci-dessus), Öðrœnir : “stimulant d’esprit”, Sön : “fils/réparation”, Bæn : “fille/prière”, contenant Kvaſir : “hydromel du savoir”, symbolisant Hrungnis Hjarta : “cœur de Hrungnir” (Óðinn comme Þurs), stafr représentant la Gæfa.

Chaque ensemble image un groupe/une famille. L’Ætt : “mennie/famille/parents” est la somme de connaissances et pratiques reçues par l’individu, et liguées/enseignées par la Folkſtram : “clan/tribu/parenté/famille (sens large)”. Swastika de Su-asti : “bien-être” en sanskrit, signe du Ram Aria/Dîs/Danann/Ligure, marque de connaissance et de force de l’Agni Indo-iranien (Aryen). Selon les légendes skandinaves, 6)/I/IsaŔ : “glaces” & 7)/K/Kaun : “feu sacré/torche” s’unissant firent : 12) Livrina : “rune de vie”, c’est la moitié supérieure d’HagalſtabaŔ : “marques de force”, stafr représentée par la rune 12)/Ŕ/AlgiŔ : “Hommes”, le 12)/M du Nouveau Fuþark Danois, représentant l’Homme Laþu : en posture de prière, statique (les 2 bras levés en diagonale). Présent‚ sur le chaudron de Gundestrup, comme étant l’homme Laþu : “chargé d’invocation” dit “orant/en prière”, surnommé “Serviteur de la Roue” (en tant que roue du destin), traduisant le nom du Druide mythique Irlandais Mog Ruith, évhémérisation du Dagda : “Dieu bon”, Dieu Suprême Druidique (à l’origine de l’ancien nom de Rouen, Rotho-Magnus : “Grande Roue/rouge” en keltisk, le nom actuel est dû aux Ru : nom d’une des 3 tribus Viking suédoise). En BinderuneŔ : “runes bandes/liées” dans le sens senestrogyre (vers la gauche), 8)/S/Sol : “soleil” (qui chauffe, comme le volcan Surt : “cracheur” brûle) & 6)/I/IsaŔ : “glaces” (eau congelée), = 9)/R/Raiðu : “chariot/chevauchée”, de même 10)/L/Lagu : “mer”, Logr : “eau” (celle du Vatni Ausa : “aspersion d’eau”, eau lustrale de la transmission initiatique) & 3ème partie de 7)/K/Kaun : “feu/torche” (de lumière d’illumination, d’animus, anima), = 9)/R/Raiðu en dextrogyre (vers la droite), représente symboliquement l’acte sexuel, le voyage, le mouvement (de la vie). De même que 10)/L/Logr : “eau” & 8)/S/Sol : “soleil” = 11)/B/Beorc : “peuplier/génération” (le vieux françois Peuple a le même sens : Peuplier et Multitude de gens), Bjarkan : “bouleau/rameau de bouleau” (mis pour Mistill : “gui” en dönsk tunga, Uis : “gui” en teangorlach, plante magique des Druides). L’Andsœlis : “sens inverse du soleil”, symbolisé par le sausvastika, est l’emblème du mal, du Ragnarökkr : “destin des puissants” (sorte de fin des temps nordique). Son pendant est la 13) Tudrina : “rune de mort”, à puissance négative.

Le contrecoup du Ragnarökkr, sera la réapparition de Lif : “vie”, et Lifkjalf : “ardent à vivre”, la femme et le mari, qui s’étaient cachés dans Hodmimir : “bois de Mimir”, traduisible également par “mémoire des testicules”, du saxon Hod : “testicules” (qui a donné son surnom à Robin, dit “Taureau couillu”, mal traduit par “Robin des bois”), symbolisant les staffiŔ runiques (support créatif d’Óðinn), le singulier Stafr : “marque”, se traduit aussi par “verge”.